Distances Les rĂ©gates olympiques d'aviron se dĂ©roulent sur la distance de 2 000 mĂštres, y compris chez les femmes depuis 1988. Dans le passĂ©, les courses ont Ă©tĂ© disputĂ©es sur des distances diffĂ©rentes : 1 750 m en 1900, 1,5 mile en 1904 et 1908 et 1 880 m en 1948. Les courses se disputent entre 6 embarcations depuis les Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1956. rĂ©aliserLes commerciaux par exemple vont rĂ©aliser un classement de leurs. RĂ©aliser les commerciaux par exemple vont rĂ©aliser un. School École nationale de commerce et de gestion de Casablanca; Course Title FINANCE 3399; Uploaded By antoniocunha1989. Pages 54 Ratings 100% (1) 1 out of 1 people found this document helpful; This preview shows page 33 - 36 out of 54 Jecrois que mĂȘme les propriĂ©taires rĂ©alisent que c’est le moment d’un changement de culture au sein de la LNH et que ça doit commencer par le haut. C’est le MbappĂ©rĂȘve "d'un triplĂ© Ligue des champions, Euro, Jeux olympiques" en 2020 Nous allons tenter de rĂ©aliser le plus possible une investigation rigoureuse pour voir si nous pouvons en apprendre plus que ce que nous avons su Ă  partir des prĂ©sentations antĂ©rieures de Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Bashir Abdi est arrivĂ© en apparence dĂ©tendu, ce vendredi matin, au point presse organisĂ© par la fĂ©dĂ©ration belge Ă  deux jours du marathon des championnats du monde. Son entraĂźneur, Gary Lough, avait, lui, le visage fermĂ©, peut-ĂȘtre en raison de l’actualitĂ© concernant Mo Farah, un autre de ses athlĂštes. Un sujet qui a, du reste, Ă©tĂ© interdit d’évoquer. C’est la course de dimanche, qui s’élancera Ă  6h15 heure locale et contraindra les athlĂštes Ă  se lever et Ă  manger dĂšs 3h00, qui retient leur attention, notre compatriote ayant depuis longtemps exprimĂ© son ambition de monter sur le podium de ces Mondiaux aprĂšs celui des Jeux olympiques de Tokyo en prĂ©paration d’Abdi a dĂ©butĂ© deux semaines aprĂšs le marathon de Rotterdam Ndlr 4e en le 10 avril, en Éthiopie. "Puis, quand la saison des pluies est arrivĂ©e, j’ai pris la direction de Font Romeu. Je me suis trĂšs bien entraĂźnĂ© pendant trois semaines Ă  1800m d’altitude et le 3 juillet, je me suis envolĂ© pour Flagstaff, dans l’Arizona, oĂč j’ai achevĂ© ma prĂ©paration", raconte Bashir, qui avoue manquer de points de repĂšre et de rythme de compĂ©tition "Mon seul point de comparaison, c’est le NĂ©erlandais Abdi Nageeye, et je ne m’en sors pas mal, mais il a plus de confiance que moi depuis sa victoire Ă  Rotterdam. Il est aussi montĂ© plus haut que moi en altitude et il est clairement dans la forme de sa vie!"Les Éthiopiens favorisSur un parcours qu’il ne souhaite pas reconnaĂźtre "je verrai bien au premier tour ce qui m’attend" et qui a Ă©tĂ© dessinĂ© Ă  Springfield, au nord de la riviĂšre Willamette traversant Eugene, Bashir Abdi fera certainement partie des prĂ©tendants aux mĂ©dailles. Mais ils sont nombreux Ă  briguer un podium en l’absence du de la discipline, le Kenyan Eliud Kipchoge."Je fais des Éthiopiens Lelisa Desisa, le champion sortant, et Mosinet Geremew, son dauphin, mes favoris pour la course", indique Bashir Abdi. "Si Desisa a pu gagner Ă  Doha dans des conditions extrĂȘmes, ce sera encore plus facile pour lui ici oĂč la tempĂ©rature tĂŽt le matin est idĂ©ale 16°C. L’équipe du Kenya se comporte toujours bien et il y a encore Nageeye ainsi que quatre ou cinq underdogs Ă  cĂŽtĂ© de cela. Dommage que Koen Naert ne soit pas lĂ , il m’avait bien conseillĂ© au Japon."Quelle sera, dĂšs lors, la clĂ© pour le Gantois? "Être alerte du dĂ©but Ă  la fin, ĂȘtre patient et rĂ©agir au bon moment. Il ne m’appartiendra pas de prendre des initiatives mais d’apporter des rĂ©ponses intelligentes aux mouvements de course. Vous savez, tout le monde ici est entraĂźnĂ© pour courir 35 kilomĂštres Ă  bonne allure, mais le marathon commence vraiment Ă  ce moment-lĂ , quand les crampes arrivent, que le lactique est de plus en plus prĂ©sent. J’espĂšre qu’il me restera suffisamment d’énergie. Mais je me sens prĂȘt Ă  courir en 2h05 ou 2h06."À l’aube de son huitiĂšme marathon, l’athlĂšte de 33 ans estime qu’il doit encore acquĂ©rir un peu d’expĂ©rience. "J’ai une marge de progression Ă  ce niveau, et donc aussi au niveau du chrono."Quoi qu’il en soit, Bashir Abdi prĂ©fĂšre le prestige des championnats, dit-il, aux marathons des grandes villes. "Je trouve que les mĂ©dailles sont plus importantes car les chronos peuvent toujours ĂȘtre battus. J’ai le bronze olympique mais j’aimerais vraiment ouvrir mon compteur aux Mondiaux
". ï»żBonjour je bloque sur une question de Pix Gary rĂ©alise un classement des champions olympiques. ComplĂ©tez le tableau Ă  tĂ©lĂ©charger Ă  l'aide du texte suivant. La kayakiste française Émilie Fer a remportĂ© l'or lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012. Elle a devancĂ© l'australienne Jessica Fox qui est repartie avec l'argent. Quel est le mot secret en C7 ? Informatique de nouvelles questionsVoilĂ  mon devoir maison en technologie je suis en 4Ăšme et je n’y arrive pas du tout esque quelqu’un peut m’aider si vous plaĂźtRĂ©ponses J'ai un problĂšme. j'ai un contrĂŽle de rattrapage Ă  donner et je connais pas du tout les rĂ©ponses. vous pouvez m'aidez s'il vous plaĂźt ? qu'est-ce qui est logique et analogique ? de me rĂ©pondre. ❀RĂ©ponses Vous pouvez m’aidez c’est un trvail en technoRĂ©ponses Informatique, 1050, theachezPouvez vous m'aider svp c'est trĂšs important c'est pour demain matin svp et j'y arrive pas aidez moi MathĂ©matiques, 1343MathĂ©matiques, 1804Informatique, 1435MathĂ©matiques, 1234Physique/Chimie, 0720MathĂ©matiques, 1926Français, 1926Français, 1926Physique/Chimie, 1926 Gary rĂ©alise un classement des champions le tableau Ă  tĂ©lĂ©charger Ă  l'aide du texte kayakiste française Émilie Fer a remportĂ© l'or lors des jeux Olympiques de Londres en 2012. Elle a devancĂ© l'australienne Jessica Fox qui est repartie avec l'argent.​ Lista de comentĂĄrios georgefel RĂ©ponseA2 Émilie B2 Fer C2 France ou Londres E3 orA3 Jessica C3 Australie ou Londres D3 kayak E3 ArgentExplicationsIl faut mettre le prĂ©nom de chacune des joueuses dans la colonne "PrĂ©nom" et leur noms dans la colonne "Nom", pays soit le pays d'origine soit le pays des jeux olympiques, sport kayak, mĂ©daille or pour Émilie et argent pour Jessica. J'espĂšre que cela te convient et dit moi si j'ai eu juste PubliĂ© le 20 septembre 2021 CrĂ©dit photo © Alex Voyer Rencontre avec le champion du monde de plongeon Gary Hunt est pilote de l’air. Pas de ceux qui portent le treillis ou conduisent des avions de chasse. Non, de ceux qui manƓuvrent l’apesanteur comme personne. Huit fois Champion du Monde de haut-vol, le plongeur de 37 ans maitrise sa peur et domine sa discipline. Ou l’inverse. C’est pareil. Si bien qu’il a dĂ©veloppĂ© une relation passionnelle qui n’a rien de platonique pour ce sport spectaculaire qu’il pratique comme un art. L’art du plongeon. Un art pour lequel il se livre corps et Ăąme, quitte Ă  changer de nationalitĂ©. Entretien avec un anglais devenu français, un roastbeef ayant mutĂ© frog qui n’aime rien d’autre que s’envoyer en l’air. Théùtre des rĂȘves, Londres et exhibitions CrĂ©dit photo © Romina Amato Comment en arrive-t-on Ă  s’élancer d’une plateforme perchĂ©e Ă  27 mĂštres au-dessus de l’eau, dans les endroits les plus rocambolesques du planisphĂšre ? Est-ce une vocation ou le fruit d’un improbable concours de circonstances ? C’est le rĂ©sultat d’un concours de circonstances, mais plus favorable qu’improbable, au sens oĂč mon parcours suit une certaine logique. Je pratique le plongeon depuis l’enfance et suis habitĂ© par une passion pour la discipline depuis l’instant oĂč j’ai fait sa rencontre
 CrĂ©dit photo © Ricardo Nascimento Justement, peux-tu nous raconter cette trajectoire qui a menĂ© le petit londonien que tu Ă©tais vers les 8 titres de Champion du Monde qui garnissent aujourd’hui ton palmarĂšs ? Mon pĂšre, fan absolu de natation, souhaitait que l’on pratique ce sport. Sauf que je n’étais que modĂ©rĂ©ment douĂ© et que je passais plus de temps Ă  observer les plongeurs qui s’éclataient dans la piscine d’à-cĂŽtĂ© qu’à ĂȘtre assidu sur mes longueurs. À 9 ans, j’ai demandĂ© Ă  mes parents de changer de bassin pour pouvoir les rejoindre. InstantanĂ©ment, ça m’a plu. J’avais au prĂ©alable fait un peu de danse et de gymnastique, ce qui m’offrait une certaine aisance dans la gestuelle et la maitrise de mon corps en mouvement. Jusqu’à 20 ans, je me suis lancĂ© Ă  corps perdu dans la compĂ©tition, avec pour objectif une qualification olympique sur le plongeon Ă  10 mĂštres. Quel est l’élĂ©ment dĂ©clencheur qui te fait tripler la hauteur de la plateforme ? Quand et comment passes-tu du plongeon olympique Ă  10 mĂštres, en bassin, au plongeon de haut-vol, 27 mĂštres au-dessus du vide, en nature ? À l’étĂ© 2006, mon coach reçoit l’appel d’un plongeur italien qui, alertĂ© par ma rĂ©putation de voltigeur assez audacieux, me sollicite dans sa recherche d’un acolyte pour des spectacles d’exhibition qu’il rĂ©alisait durant toute la saison estivale. J’avais terminĂ© les compĂ©titions et c’était l’occasion rĂȘvĂ©e de mettre un pied dans cet univers qui m’attirait dĂ©jĂ  Ă©normĂ©ment. La nature t’offre un théùtre de rĂȘve dont tu deviens l’acteur principal 3 secondes durant CrĂ©dit photo © Dean Treml Qu’est-ce que tu as trouvĂ© dans le plongeon de haut-vol que tu n’avais pas ailleurs ? Pendant ces deux mois d’initiation, j’ai goĂ»tĂ© Ă  la libertĂ© totale qui te saisit en haut-vol. Tu t’affranchis du cadre rigoureux du plongeon olympique, tu sors de cette routine particuliĂšrement usante piscine - hĂŽtel - piscine » 
 Tu laisses un libre-cours total Ă  ton imagination. La crĂ©ativitĂ© et l’audace sont plus qu’encouragĂ©es. Ton rĂŽle est clair innover dans l’air. Moi, dont les plongeons Ă©taient considĂ©rĂ©s comme bizarres » en bassin, je trouvais lĂ  un magnifique terrain d’expression. L’autre aspect qui m’a sĂ©duit, c’est le cadre. Tu plonges dans un dĂ©cor fantastique, en pleine nature, au contact direct des Ă©lĂ©ments. La nature t’offre un théùtre de rĂȘve dont tu deviens l’acteur principal 3 secondes durant
 Coup de matraque, 100 km/h et gestion des Ă©motions On y arrive ! Les chiffres sont impressionnants et tĂ©moignent de la dimension extrĂȘme de ce sport 27 m de hauteur, 3 secondes de vol
 Quelle est votre vitesse Ă  l’instant de pĂ©nĂ©trer dans l’eau ? Entre 90 et 100 km/h
 Et l’on passe de 100 Ă  0 km/h en moins d’une seconde. Clairement, ça secoue ! À cette vitesse, l’eau devient du bĂ©ton et le moindre degrĂ© vertical parasite a l’effet d’un coup de matraque. MĂȘme lorsque tu rĂ©ussis parfaitement ton plongeon, tu sais que ça va ĂȘtre violent. Tu as juste un peu moins mal ! À cette vitesse, l’eau devient du bĂ©ton et le moindre degrĂ© vertical parasite a l’effet d’un coup de matraque CrĂ©dit photo © Dean Treml Comment prendre du plaisir dans un sport oĂč l’on sait que la douleur Ă  l’impact est inĂ©vitable ; lorsque l’on sait que, quoi qu’il arrive, quelques secondes plus tard, on va souffrir ? DĂ©jĂ , on ne monte pas directement Ă  27 m. C’est l’aboutissement d’un long processus d’apprentissage. On s’habitude d’abord Ă  l’impact sur des hauteurs infĂ©rieures et on dĂ©veloppe des compĂ©tences pour apprĂ©hender et digĂ©rer l’impact. Ensuite, chaque saut est l’objet d’un vrai dialogue intĂ©rieur entre le cerveau, qui dĂ©conseille d’y aller, et le corps, qui se prĂ©pare Ă  souffrir. Mais en rĂ©alitĂ©, ce qui nous pousse c’est l’anticipation de ces secondes de bonheur que l’on va connaĂźtre une fois dans l’air et ce sentiment incomparable de satisfaction qui va nous envahir lorsque l’on va remonter Ă  la surface de l’eau
 Le haut-vol est un sport extrĂȘme. Le meilleur plongeur est-il celui qui maitrise le mieux sa peur ? D’autres facteurs comme la dimension crĂ©ative et les capacitĂ©s physiques entrent en jeu, mais la gestion des Ă©motions apparait clairement comme l’un des points-clĂ©s
 Un temps C’est marrant car, jeune, je me suis fait la promesse de ne jamais exercer un boulot qui pouvait gĂ©nĂ©rer du stress, Ă  contrario de mon pĂšre que j’ai vu rongĂ© par l’anxiĂ©tĂ© d’un poste Ă  responsabilitĂ©s. Aujourd’hui je rĂ©alise qu’en rĂ©alitĂ©, mon mĂ©tier, c’est gĂ©rer la peur. CrĂ©dit photo © Dean Treml Chaque saut est l’objet d’un dialogue intĂ©rieur entre le cerveau, qui dĂ©conseille d’y aller, et le corps, qui se prĂ©pare Ă  souffrir. CrĂ©dit photo © Ricardo Nascimento Pouvez-vous nous confier la maniĂšre dont vous gĂ©rez cette peur ? À quoi pensez-vous lorsque vous vous retrouvez lĂ -haut sur la plateforme, et que vous jetez un coup d’Ɠil sur le vide sous vos pieds ? Chaque plongeur a sa mĂ©thode pour gĂ©rer la peur. C’est trĂšs personnel. Pour ma part, j’ai construit un socle de sĂ©rĂ©nitĂ© grĂące Ă  mon expĂ©rience sur le circuit.’ J'ai bĂąti un processus mental qui consiste Ă  mentir Ă  mon corps en quelque sorte. En anglais, il y a un proverbe qui rĂ©sume bien cette attitude Fake it until you make it. En gros, fais comme si tu Ă©tais convaincu de rĂ©ussir jusqu’à ce que tu aies effectivement rĂ©ussi. Jouer ce rĂŽle d’acteur, feindre une grande confiance en moi, cela m’aide Ă  m’élancer. Ensuite, une fois que je suis dans les airs, la peur me quitte instantanĂ©ment. Je n’ai plus aucune apprĂ©hension. Je me concentre Ă  100% sur les figures que j’ai Ă  rĂ©aliser et je prĂ©pare ma rĂ©ception dans l’eau. Peut-on considĂ©rer que les plongeurs de haut-vol sont si souvent confrontĂ©s Ă  la peur qu’ils en deviennent des philosophes ? C’est quoi la peur pour toi ? Sourire J’aimerais un jour Ă©crire sur ce sujet, car je pense que, dans notre sport, nous dĂ©ployons une perspective unique Ă  cet Ă©gard. Pour moi, la peur c’est la sĂ©curitĂ©, ce qui me force Ă  rester extrĂȘmement concentrĂ©. Si je n’avais pas peur, j’oserais tout, je prendrais tous les risques. C’est le sentiment qui me rend rationnel et raisonnable. Mais c’est aussi celui qui me pousse Ă  m’entrainer comme un acharnĂ© chaque jour. La peur, si elle ne devient pas inhibante, se rĂ©vĂšle un formidable vecteur de progression. Elle mute en ce moteur qui te pousse Ă  surmonter les obstacles et explorer tes limites. Dis Gary, ça se dĂ©roule comment une compĂ©tition de Red Bull Chaque manche s’étend sur 2 journĂ©es consĂ©cutives, avec une totalitĂ© de 4 plongeons Ă  rĂ©aliser. Le premier jour est rĂ©servĂ© Ă  2 plongeons de difficultĂ© raisonnable ou intermĂ©diaire d’un point de vue technique afin de mettre en avant la grĂące et la fluiditĂ©. Le deuxiĂšme jour propose 2 plongeons dits libres. Ces 4 sauts sont notĂ©s par 5 juges, de 0 Ă  10, avec une pondĂ©ration de chaque marque en fonction du niveau de difficultĂ©. Par souci de partialitĂ©, on enlĂšve la note la plus haute ainsi que la plus basse pour calculer la moyenne des 3 restantes. » La carte postale du serial-globe plongeur CrĂ©dit photo © Ricardo Nascimento Ton spot de plongeon prĂ©fĂ©rĂ© ? Le gouffre de Cenote Ik Kil, au Mexique. Une formation rocheuse naturelle de 60 m de large et 39 m de profondeur Ă  laquelle on attribue des pouvoirs sacrĂ©s. On a vraiment l’impression de plonger dans un trou, entourĂ© d’arbres exotiques. L’épreuve de La Rochelle fut Ă©galement magique. Les conditions Ă©taient dures - pluie, vent, froid - mais il y avait 70 000 personnes au sol pour nous encourager. Le spot le plus singulier ? J’ai toujours trouvĂ© que plonger dans les villes Ă©tait trĂšs spectaculaire car on adjoint une dimension culturelle au spectacle. Sauter face au Kremlin de Kazan, au Parlement de Budapest ou au MusĂ©e Guggenheim de Bilbao, ça fait quelque chose. Le KitzbĂŒhel du plongeon le spot qui fait le plus peur ? Le Serpent’s Lair, sur la cĂŽte atlantique irlandaise, est trĂšs dĂ©stabilisant. Les conditions capricieuses, sont typiquement britanniques. On plonge dans cette petite piscine naturelle creusĂ©e dans un rocher abrupt et abrasif. La veille de la compĂ©tition, les vagues sont gĂ©nĂ©ralement Ă©normes
 Il faut y ĂȘtre fort mentalement. Le spot avec lequel tu as un contentieux ? Pendant longtemps, ce fut Mostar en Bosnie-HerzĂ©govine. J’avais du mal Ă  gĂ©rer le fait que l’eau soit en mouvement, puisqu’on y plonge dans une riviĂšre avec un fort courant. En 2019, les organisateurs m’ont soulignĂ© que je n’avais jamais gagnĂ© une compĂ©tition s’élançant depuis un pont ça m’a piquĂ© et j’ai rĂ©parĂ© cette erreur ! Le plongeon dont tu es le plus fier ? Mon dernier plongeon aux Championnats du Monde en CorĂ©e du Sud, en 2019. Je n’étais pas en tĂȘte au classement. Je savais que je devais atteindre la perfection pour espĂ©rer dĂ©crocher le titre et j’ai rĂ©ussi un 10/10 de moyenne au moment oĂč il le fallait. Tarzan, Jeux Olympiques et Brexit CrĂ©dit photo © Romina Amato À quoi tu penses lorsque la peur te quitte et que tu te retrouves pendant 3 secondes suspendu dans les airs ? Au quotidien, mon cerveau est ouvert Ă  diffĂ©rents types de pensĂ©es qui vont et viennent en toute libertĂ©. En revanche, quand je plonge, je verrouille tout et j’enclenche le mode automatique pour que mon corps et mon esprit fonctionnent en parfaite symbiose. Ceci afin que le premier rĂ©agisse instantanĂ©ment Ă  ce que lui ordonne le second. Une pensĂ©e parasite risquerait de mettre de la friture sur la ligne, de crĂ©er une microseconde de latence entre les deux, et lĂ , c’est le coup de matraque assurĂ© au moment de pĂ©nĂ©trer dans l’eau. Parfois, je vois des choses lors de ces 3 secondes -un paysage, un dĂ©tail, un oiseau - mais ce n’est qu’aprĂšs que j’assimile l’information et m’en souviens
 Quel est ton moment prĂ©fĂ©rĂ© lors d’un plongeon ? L’instant oĂč l’on saute - lorsque l’on prend son envol est exceptionnel. On laisse sa peur et ses doutes derriĂšre soi. On se drape automatiquement de certitudes, comme si une vague de confiance en soi et de libertĂ© dĂ©ferlait
 La seconde que l’on passe sous l’eau, lorsque l’on perd toute notre vitesse pour finalement remonter avec les petites bulles Ă  la surface, vaut elle aussi le dĂ©tour. On est alors saisi d’un soulagement et d’une satisfaction proportionnels au stress ressenti
 Est-ce cette sensation que tu ne retrouves nulle part ailleurs qui te permet de conserver une motivation intacte, Ă  37 ans, alors que tu as dĂ©jĂ  tout gagnĂ© ? Ma motivation principale, c’est d’inventer de nouvelles choses, tenter des mouvements que jamais personne n’a rĂ©ussi. Le plongeon, c’est mon art l’endroit oĂč je peux crĂ©er et m’exprimer ! Étant parmi les leaders de ma discipline, j’estime qu’il en va de mon devoir d’innover et de tirer mon sport vers le haut. Un temps de rĂ©flexion La perspective olympique constitue Ă©galement un puissant leitmotiv. J’espĂ©rais que le haut-vol intĂšgre les JO. Ce ne sera malheureusement pas le cas. Par consĂ©quent, j’ai dĂ©cidĂ© de revenir Ă  mon premier amour et tenter ma chance Ă  10 m. Le fait que les JO se tiennent Ă  Paris en 2024 dĂ©cuple ma dĂ©termination comme jamais. Ce fut un argument qui a pesĂ© lourd dans mon choix d’opter pour la nationalitĂ© française. Aujourd’hui je me rends compte, qu’en rĂ©alitĂ©, mon mĂ©tier, c’est gĂ©rer la peur CrĂ©dit photo © Romina Amato C’était l’objet de notre derniĂšre question pourquoi as-tu dĂ©cidĂ© d’opter pour la nationalitĂ© française plutĂŽt que britannique en 2019 ? Ce choix se situe au confluent d’une pluralitĂ© de raisons. Tout d’abord, ma femme - que j’ai rencontrĂ© dans un parc aquatique oĂč l’on rĂ©alisait des exhibitions, elle dans le rĂŽle de Jane et moi dans celui de Tarzan - est française. Je suis donc venu m’installer en rĂ©gion parisienne, oĂč je vis et m’entraĂźne, Ă  la piscine de Montreuil, il y a plus d’une dĂ©cennie. Ensuite, j’apprĂ©hendais de plus en plus mal le fait de ne pouvoir partager les victoires comme les dĂ©faites avec mes partenaires d’entrainement dont je suis devenu trĂšs proche. Ne pas concourir pour le mĂȘme maillot a créé un dĂ©calage que j’avais du mal Ă  assimiler. Le Brexit et la complexitĂ© d’obtenir des visas sont venus s’ajouter Ă  cela. Enfin, la possibilitĂ© de pouvoir concourir Ă  la maison, sous banniĂšre tricolore, aux JO de Paris 2024, a fini de me convaincre. De Baptiste Chassagne J'arrive pas Ă  la retrouver, quelqu'un aurait un lien siouplez ? ca ? Le 02 mars 2018 Ă  220123 RengarPasToxic a Ă©crit ca ?MwĂ© presque, c'est pas une vidĂ©o / Vous voyez pas ? Avec une prononciation plutĂŽt drĂŽle, il parle de Tryndameure, et il termine en disant que Aatrox c'est complĂštement "chitĂ©" Le 02 mars 2018 Ă  220612 VaalHazak a Ă©crit cimer bro Gunshorgun Mundo et son mana infini ? kennen il court vite avec sa boule Ă©lectrique chin chaho trĂšs dur a manier Le 02 mars 2018 Ă  222227 TwinDisciplines a Ă©crit chin chaho trĂšs dur a manierIl a le mĂ©rite de bien le prononcer En premiĂšre position on sait bien c'est qui, c'est AĂ©trox le normal avec son nil...et.... l'op qu'il a mais bon il sra pas op pendant quelque temps Sujet fermĂ© pour la raison suivante Sujet sans activitĂ©

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