Marc9.23. Le texte reçu dit, selon la version littĂ©rale de Lausanne : " Le si tu peux, c'est de croire ; " ou, selon nos versions ordinaires qui suppriment l'article : "Si tu peux croire ." Ce dernier mot, quoique dans A, D, les majuscules rĂ©cents, est rejetĂ© par la plupart des critiques. JĂ©sus Ă  la parole dubitative du pĂšre oppose une Carrien n'est impossible Ă  Dieu. Luc 1:37; Qu'il vous soit fait selon votre foi. Matthieu 9:29; Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espĂšre, une dĂ©monstration de celles qu'on ne voit pas. HĂ©breux 11:1; Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse, qu'il la demande Ă  Dieu, qui donne Ă  tous simplement et sans reproche, et elle Ona pas Ă  prouver l’inexistence de Dieu. C’est logiquement impossible de prouver l’inexistence de quelque chose. Un des principes de base pour mener un dĂ©bat en bonne et due forme est que la charge de la preuve revient Ă  celui qui affirme. Pour simplifier, je n’ai pas Ă  vous prouver l’inexistence des vampires/monstre du Loch Ness LUnivers est un immense champ de possibilitĂ©s attendant juste celui ou celle qui osera se libĂ©rer de ses propres limites. “Tout est possible Ă  celui qui croit” (Marc 9:23) Vous avez la possibilitĂ© et le choix de vivre tout ce que vous dĂ©sirez. Cela dĂ©pend uniquement de ce que VOUS dĂ©cidez d’attirer vers vous. Et vous pouvez attirer n’importe quoi. Quelleleçon pour chacun! Ne doutons jamais, Rien n’est impossible Ă  Dieu. Tout est possible Ă  celui qui croit. Le Seigneur nous a donnĂ© une arme infaillible, la priĂšre. «C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.»Marc‬ ‭11:24‬ ‭ Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. Avis des lecteurs Questionnaire Votre avis sur la qualitĂ©s des ouvrages publiĂ© par nos soins a de l'importance pour nous ! Nous serons donc tres reconnaissants Ă  elles et ceux qui prendront la peine de remplir le questionnaire ci-aprĂšs Si vous constatez un dĂ©faut de façonnage majeur sur un de nos produits, merci d'en informer immĂ©diatement le service clientĂ©le de la Maison de la Bible Produit CARTE POSTALE "RIEN N'EST IMPOSSIBLE À CELUI QUI CROIT" Vous habitez ... Si vous souhaitez prĂ©ciser ou complĂ©ter votre analyse, vous pouvez le faire dans le cadre ci-aprĂšs. Si vous souhaitez poser une question Ă  notre dĂ©partement Ă©dition ou attendez une rĂ©ponse Ă  l'une de vos remarques, merci d'indiquer votre adresse email. Si vous souhaitez que d'autres lecteurs aient connaissance de votre apprĂ©ciation sur le contenu de l'ouvrage, n'hĂ©sitez pas Ă  ajouter un commentaire Message complĂ©mentaire Votre email Montrer que vous ĂȘtre un humain zero plus zero Donnez la rĂ©ponse en chiffre Lecture de la lettre de saint Paul apĂŽtre aux ColossiensFrĂšres, depuis le jour oĂč nous avons entendu parler de vous, nous ne cessons pas de prier pour vous. Nous demandons Ă  Dieu de vous combler de la pleine connaissance de sa volontĂ©, en toute sagesse et intelligence spirituelle. Ainsi votre conduite sera digne du Seigneur, et capable de lui plaire en toutes choses ; par tout le bien que vous ferez, vous porterez du fruit et vous progresserez dans la vraie connaissance de Dieu. Vous serez fortifiĂ©s en tout par la puissance de sa gloire, qui vous donnera toute persĂ©vĂ©rance et patience. Dans la joie, vous rendrez grĂące Ă  Dieu le PĂšre, qui vous a rendus capables d’avoir part Ă  l’hĂ©ritage des saints, dans la lumiĂšre. Nous arrachant au pouvoir des tĂ©nĂšbres, il nous a placĂ©s dans le Royaume de son Fils bien-aimĂ© en lui nous avons la rĂ©demption,le pardon des pĂ©chĂ©s. PSAUMEPs 97- 98R/ Le Seigneur a fait connaĂźtre son salut. Le Seigneur a fait connaĂźtre sa victoireet rĂ©vĂ©lĂ© sa justice aux nations ;il s’est rappelĂ© sa fidĂ©litĂ©, son amour,en faveur de la maison d’IsraĂ«l..La terre tout entiĂšre a vula victoire de notre le Seigneur, terre entiĂšre,sonnez, chantez, jouez !Évangile de JĂ©sus Christ selon saint LucEn ce temps-lĂ , la foule se pressait autour de JĂ©sus pour Ă©couter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de GĂ©nĂ©sareth. Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pĂȘcheurs en Ă©taient descendus et lavaient leurs filets. JĂ©sus monta dans une des barques qui appartenait Ă  Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules. Quand il eut fini de parler, il dit Ă  Simon Avance au large, et jetez vos filets pour la pĂȘche. » Simon lui rĂ©pondit MaĂźtre, nous avons peinĂ© toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. » Et l’ayant fait, ils capturĂšrent une telle quantitĂ© de poissons que leurs filets allaient se dĂ©chirer. Ils firent signe Ă  leurs compagnons de l’autre barque de venir les vinrent, et ils remplirent les deux barques, Ă  tel point qu’elles enfonçaient. À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de JĂ©sus, en disant Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pĂ©cheur. » En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui Ă©taient avec lui, devant la quantitĂ© de poissons qu’ils avaient pĂȘchĂ©s ; et de mĂȘme Jacques et Jean, fils de ZĂ©bĂ©dĂ©e, les associĂ©s de Simon. JĂ©sus dit Ă  Simon Sois sans crainte, dĂ©sormais ce sont des hommes que tu prendras. » Alors ils ramenĂšrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent. – Aelf, ParisL'Ă©pisode de la pĂšche miraculeuse nous invite Ă  grandir dans la foi , car trĂšs souvent notre logique simpliste ne laisse guĂšre de place Ă  la foi. Or, c'est bien par des Ă©pisodes comme la pĂšche miraculeuse que l'homme - lors devenu docile Ă  la Parole, tend Ă  regarder au-delĂ  du rĂ©el. Voici le cas d'un Ă©tudiant qui s'Ă©tait prĂ©sentĂ© Ă  un examen de Sciences - qu'il croyait "perdu d'avance". Pour Ă©viter toute tricherie, le professeur avait diversifiĂ© les questions de telle sorte qu'il n'Ă©tait pas un seul problĂšme identique Ă  l'autre. L'Ă©tudiant Ă©tudiant bĂ©nĂ©ficia de d'une question portant sur la seule partie du cours qu'il avait bien comprise. Comment comprendre que cet Ă©lĂšve ait pu rĂ©soudre un problĂšme qui aurait dĂ» l'Ă©liminer ? On le pria de rĂ©pĂ©ter le mĂȘme et unique "chemin" conduisant Ă  la rĂ©solution du problĂšme en est de mĂȘme de la pĂšche miraculeuse. Ce n'est pas la science de la pĂšche sur la mer de GalilĂ©e qui a rendu possible le miracle, mais c'est bien une foi sans dĂ©faut. MĂȘme s'il a pu douter un instant, Pierre n'a pas hĂ©sitĂ©. La premiĂšre lecture rejoint la seconde dans l'exercice es vertus thĂ©ologale foi, espĂ©rance, charitĂ©.. JĂ©sus lui dit Si tu peux ! Tout est possible Ă  celui qui 923 C’est un beau verset ! Tout est possible Ă  celui qui croit. J’aimerai qu’on puisse bien remettre ce verset dans son contexte, pour bien comprendre ce qu’il veut dire. Le dĂ©sespoir d’un pĂšre Ce texte raconte l’histoire d’un homme qui a un fils animĂ© d’un esprit mauvais. Cet esprit le jetait dans le feu et dans l’eau pour le faire pĂ©rir. Cet homme avait donc peur, il Ă©tait dans la crainte et il voulait le bien de son enfant ! Alors, il est allĂ© voir les disciples dans l’espoir qu’ils libĂšrent son fils. Il avait surement entendu que les disciples avaient accompli des miracles par la puissance de Dieu. Mais, dans son cas, ils n’ont pas rĂ©ussit. Cet homme devait ĂȘtre déçu des disciples et mĂȘme de Dieu. Ce pĂšre devait ĂȘtre dĂ©sespĂ©ré  La puissance de JĂ©sus Et c’est lĂ  que JĂ©sus intervient. Il s’approche de cet homme et lui demande de lui amener son fils. Le pĂšre lui explique la situation et il lui dit Si tu peux faire quelque chose, vient Ă  mon aide ». Le pĂšre ne croyait pas vraiment en la puissance de JĂ©sus. Il y doutait en disant Si tu peux
 » Mais JĂ©sus va lui montrer que non seulement il le PEUT, mais qu’en plus, il le VEUT. Il commanda Ă  l’esprit mauvais qui tenait l’enfant de sortir afin qu’il soit complĂštement dĂ©livrĂ©. A l’heure mĂȘme, l’enfant a Ă©tĂ© complĂštement guĂ©rit et dĂ©livrĂ© de son mal. Ce que les disciples n’ont pas rĂ©ussi Ă  faire, JĂ©sus l’a fait, parce qu’à JĂ©sus, rien ne lui est impossible ! Une leçon pour le pĂšre et pour nous Je pense que le pĂšre de l’enfant a dĂ» comprendre qui Ă©tait JĂ©sus. JĂ©sus est venu au secours de son incrĂ©dulitĂ©, et lui a montrĂ© que rien ne lui est impossible. Et dans bien des situations, on peut se retrouver dans ce cas Est-ce que JĂ©sus peut vraiment m’aider ? Est-ce qu’il le veut ? OUI ! À JĂ©sus rien n’est impossible. C’est un exemple pour nous. Ne doutons pas de la puissance de JĂ©sus. Il est celui qui a toute autoritĂ©. Tout l’univers est sous son contrĂŽle ! 
 Ă  celui qui croit en JESUS Oui, c’est JĂ©sus qui peut. C’est JĂ©sus Ă  qui rien n’est impossible. On a bien vu que l’homme Ă©tait bien faible face Ă  la situation de cet enfant. Et bien souvent l’homme est limitĂ©. L’homme veut ĂȘtre tout puissant et essai d’atteindre cela par divers moyens. Mais la vĂ©ritĂ©, c’est que face Ă  biens des situations, l’homme est bien faible et il a besoin de plus grand que lui. JĂ©sus nous invite Ă  placer notre confiance en lui, Ă  qui RIEN n’est IMPOSSIBLE, mais Ă  qui TOUT est POSSIBLE. Oui, tu peux placer ta confiance en JĂ©sus, qui peut absolument tout. JĂ©sus peut tout. Il est capable de restaurer ton cƓur, de guĂ©rir, de dĂ©livrer des terreurs nocturnes, de mettre la paix dans un foyer dĂ©truit. JĂ©sus le peut. Fais lui confiance, et il agira. Jonathan RANZIERI Et le tableau en image Articles similaires Lorsque je rencontre cet amoureux de la vie et de la cuisine africaine, je ne sais pas encore Ă  quelle sauce je vais ĂȘtre mangĂ©e ». Bonne nouvelle, Kossi Modeste, l’entrepreneur franco-togolais fondateur d’ Afro Cooking » est ouvert et aime les gens. C’est pour les ravir qu’il lance son magazine dĂ©diĂ© Ă  la cuisine afrocaraĂŻbĂ©enne, en 2013. Aujourd’hui, le support possĂšde 15000 points de vente dans le monde, dont 7000 en France hexagonale et dans les Antilles françaises. Autour d’un bon repas, le jeune homme, qui a grandi Ă  OrlĂ©ans, a acceptĂ© de rĂ©pondre Ă  mes questions, afin de mieux se laisser dĂ©couvrir. Au cours de l’interview, vous aurez l’occasion d’en savoir plus sur l’homme qu’il est, son enfance, ses dĂ©fis professionnels, ses Ă©checs aussi. Et notamment sur son 1er festival We Eat Africa », qui aura lieu le 07 juillet 2018, Ă  Paris. Entretien. Tu as quittĂ© le Togo Ă  l’ñge de cinq ans, raconte-nous un de tes souvenirs de LomĂ© avant de partir pour la France ? Je suis nĂ© et j’ai grandi Ă  Tokoin. Mon papa et ma maman vivaient lĂ -bas et nous y avions un magasin en face de l’hĂŽpital. Je regardais la route par la voiture et je me rappelle qu’à 4 ans, j’ai quittĂ© la maison pour me rendre seul, Ă  pied, Ă  FrĂ©au Jardin pour aller voir ma tante, que j’aimais beaucoup. , ArrivĂ© sur place, tout le monde Ă©tait surpris car j’étais trĂšs jeune pour un tel trajet seul. Le goĂ»t de l’aventure m’a toujours animĂ©, j’aime dĂ©couvrir les choses. A quel Ăąge es-tu retournĂ© au Togo ? J’avais 17 ans. Mes parents estimaient que j’étais un petit voyou et ils avaient peur pour mon avenir car je sortais beaucoup, mĂȘme si j’aimais l’école. A l’époque, nous vivions dans un quartier sensible d’OrlĂ©ans. Ils m’ont donc envoyĂ© au bled » comme on disait, je devais y rester un an. Au dĂ©but, c’était le choc, puis la vie simple de LomĂ© proche des rĂ©alitĂ©s m’a plu. J’ai trouvĂ© une formation Ă  l’Item Institut Technique d’Electronique et de Micro-informatique. Au final, j’ai dĂ©cidĂ© de rester trois ans. L’éducation que j’ai reçue m’a beaucoup aidĂ©. Ma mĂšre disait souvent si tu veux quelque chose tu ne le voleras pas, travail pour l’avoir ». Mon pĂšre aussi m’a beaucoup appris. Il m’a fait arrĂȘter le football car il avait peur qu’il me dĂ©tourne des Ă©tudes. J’étais furax. De plus, Ă  chaque vacance, je devais lire un livre et lui en faire un rĂ©sumĂ©. C’est bien aprĂšs que j’ai compris lĂ  oĂč il voulait en venir et je l’en remercie aujourd’hui. Qu’est-ce que cette vie au Togo t’a apportĂ© dans ton parcours professionnel et/ou tes projets, par la suite ? Lorsque je suis rentrĂ©, je ne voyais plus la vie de la mĂȘme maniĂšre. AprĂšs deux annĂ©es de spĂ©cialisations, j’ai rapidement créé ma boĂźte dans le domaine du transport logistique. Je menais la belle vie en tant que chef d’entreprise. Cela a durĂ© trois ans. J’aimais faire de la route, cela me permettait de rĂ©flĂ©chir. L’entreprise se portait bien, mais cela a tournĂ© court lorsque j’ai eu dix employĂ©s. Il n’y a aucune Ă©cole qui peut t’apprendre Ă  gĂ©rer des hommes, c’est trĂšs difficile. Au niveau administratif, je ne gĂ©rais rien non plus. J’ai fait un burn out » et ai Ă©tĂ© hospitalisĂ©. Dans nos sociĂ©tĂ©s francophones, nous ne valorisons pas suffisamment l’échec or il est une forme de diplĂŽme, quelque part, car il enseigne beaucoup de choses. Qu’est ce qui s’est passĂ© par la suite ? A cette Ă©poque-lĂ , j’étais trĂšs dĂ©connectĂ©e de ma famille, qui entendait pas mal de choses circuler sur moi. Une fois Ă  l’hĂŽpital, je me rappelle que maman est arrivĂ©e et a virĂ© tout le monde de ma chambre. J’avais 25 ans ; j’ai dĂ» fermer l’entreprise, rendre mon appart spacieux et ma nouvelle voiture pour retourner vivre chez mes parents. Je n’étais plus en Ă©tat de conduire, de toutes les façons. J’ai mis une semaine Ă  remarcher, trois semaines Ă  conduire de nouveau. Les amis en rĂ©alitĂ© lĂ  pour profiter de ma rĂ©ussite, je n’en ai pas vus beaucoup Ă  mon chevet, lorsque j’étais convalescent. Ma famille par contre a toujours Ă©tait lĂ  pour moi. Tu as lancĂ© ta start-up Afro Cooking » en 2013, puis le magazine du mĂȘme nom, qu’est-ce qui t’a motivĂ© Ă  cela ? J’ai appris la cuisine auprĂšs de ma mĂšre qui cuisinait souvent pour les mariages et autres. Un jour, j’ai voulu lui rendre hommage en Ă©crivant un petit mot Ă  son intention, dans un magazine culinaire afro, en Belgique, oĂč je vivais Ă  l’époque. J’ai Ă©tĂ© surpris lorsque le libraire m’a dit que cela n’existait pas ! Je me suis dit je vais le faire dans ce cas ! ». Mon cĂŽtĂ© serial entrepreneur me vient d’elle. Elle m’a appris Ă  ne pas avoir peur en me disant que rien n’était impossible Ă  celui qui croit et qui agit. Autour de moi, les gens pensaient que cela ne marcherait pas. Je ne connaissais rien dans le domaine du print mais j’ai appris sur le tard. Je l’ai fait car il y avait une rĂ©elle attente des lecteurs et lectrices. Maintenant, ils sont trĂšs fiers de tenir en main un tel magazine comme le nĂŽtre. Aujourd’hui Afro Cooking » est vendu Ă  plus de 35 000 exemplaires dans plus de 20 pays dans le monde. J’ai toujours eu cette Ăąme d’entrepreneur. DĂ©jĂ  au collĂšge, lorsque j’avais 13 ou 14 ans, je faisais des pralines, je revendais des sucettes, des cacahuĂštes sucrĂ©es Ă  mes camarades. J’avais aussi un stock de glaces dans mon congĂ©lateur que je revendais Ă  mes amis qui jouaient au basket, en bas de chez moi, durant l’étĂ©. En 2013, tu organises l’évĂšnement miss Congo Belguim rĂ©unissant les deux pays du Congo Brazzaville et de la RDC. Tu es fonciĂšrement un rassembleur qui souhaite voir taire les divisions au sein de l’Afrique ? Depuis tout petit, je ne me suis jamais posĂ© la question de savoir qui est qui ? » et tu es d’oĂč ? ». Je me rappelle que durant mon enfance, bien que je sois chrĂ©tien, aprĂšs le ramadan, lors de la fĂȘte, nous Ă©tions et mangions tous ensemble, avec mes amis musulmans. Toutes les divisions et bĂȘtises communautaristes sont arrivĂ©es en grandissant bien aprĂšs. Je me suis intĂ©ressĂ© au domaine des miss suite Ă  ma participation Ă  l’évĂšnement Miss Black France ». L’idĂ©e de rĂ©unir les deux Congo n’a pas Ă©tĂ© comprise ; j’avais envie de rassembler, au-delĂ  des frontiĂšres et querelles habituelles. Nous avons eu un bel Ă©vĂšnement et beaucoup de retours positifs, l’event Ă©tait une rĂ©ussite mĂȘme si j’y ai perdu des plumes. Cependant, je ne le regrette pas. Lire aussi Julio Teko l’étoile montante du cinĂ©ma togolais Tu voyages Ă©normĂ©ment. Au fond, qu’est ce qui fait courir Kossi Modeste ? Ce sont gĂ©nĂ©ralement les autres qui me font courir. Pour moi, celui-lĂ  qui aura dĂ©couvert le monde entier sera riche car il aura dĂ©couvert les autres. Nous nous ouvrons l’esprit par les voyages et nous arrivons alors Ă  mieux cerner les autres. Personnellement, j’ai dĂ©couvert que l’ĂȘtre humain peut changer d’avis sur toi et laisser tomber les prĂ©jugĂ©s qu’il avait, avec un simple sourire. GrĂące Ă  mes voyages, je vois aussi des choses que je peux faire chez moi et trouve des idĂ©es. J’adore voyager, cela me nourrit beaucoup ! Lors d’une prĂ©cĂ©dente interview, tu as Ă©voquĂ© la problĂ©matique de la libre circulation des personnes en Afrique, est-ce un thĂšme qui te touche ? Oui, car aujourd’hui, en Europe, les frontiĂšres sont ouvertes, ils se dĂ©couvrent, et ils se rendent compte que l’union fait la force. En Afrique, c’est bizarrement l’inverse le continent est fermĂ©, nous nous cloisonnons alors que nous devrions ouvrir les frontiĂšres. Prenons un exemple, la CĂŽte d’Ivoire et le Ghana sont tous deux producteurs de cacao, c’est aberrant de voir qu’ils ne peuvent pas mieux Ă©changer alors qu’ils ont cela en commun. Aujourd’hui, un europĂ©en voyage plus facilement sur le continent qu’un africain lui-mĂȘme. Les choses sont en train d’évoluer dans le bon sens avec certains pays pionniers comme les pays anglophones, mais cela prend trop de temps. A la maison, tu dis avoir eu comme modĂšle une famille dans laquelle papa et maman cuisinaient ensemble. Qu’est-ce que cela t’a enseignĂ© sur la paritĂ© homme/femme lorsque nous savons que sur le continent et ailleurs, beaucoup d’hommes considĂšrent encore que seule la femme a sa place en cuisine? En rĂ©alitĂ©, mĂȘme dans nos sociĂ©tĂ©s trĂšs patriarcales, les femmes ont toujours entrepris mais on ne les mettait pas en valeur, ce qui est diffĂ©rent aujourd’hui, car avec le women empowerment, enfin elles occupent la place qu’elles auraient toujours dĂ» occuper. La nouvelle gĂ©nĂ©ration est en train de prendre la place qui lui revient de droit et c’est tout Ă  fait lĂ©gitime. Je ne suis pas d’accord avec cette pression constante sur la femme a qui on demande, implicitement ou non, d’arrĂȘter son mĂ©tier pour Ă©lever les enfants etc. Je pense que ce sont des changements salutaires au bien-ĂȘtre de tous, et qui sont en train d’arriver en Afrique Ă©galement. Avec ton Ă©quipe, vous allez organiser “We Eat Africa” un festival dĂ©diĂ© Ă  la cuisine africaine le 07 juillet prochain Ă  Paris, c’est un rĂȘve qui se rĂ©alise ? Oui, ce festival est important pour nous parce que nous avions envie d’apporter autre chose, au-delĂ  de la cuisine. C’est d’ailleurs avant le chef Anto, rĂ©dactrice en chef d’AfroCooking, qui est au-devant de tout cela, car c’est son domaine. Notre motivation premiĂšre Ă©tait la visibilitĂ© et lorsque nous nous sommes rendus compte qu’un Ă©vĂšnement de ce genre n’existait pas, on s’est dit que nous allions l’organiser nous-mĂȘmes pour ĂȘtre Ă©galement maĂźtre de nos savoir-faire. Un festival culinaire sur l’Afrique Ă  Paris, c’est une premiĂšre du genre, peux-tu nous dire un peu ce que le public est en droit d’attendre d’un tel Ă©vĂšnement ? Il y aura plein de choses sourire comme des confĂ©rences autour de la cuisine, avec des thĂšmes comme la cuisine fusion contre la cuisine traditionnelle, par exemple. Nous comptons aussi faire le cheminement avec nos visiteurs de la terre Ă  l’assiette, en invitant des agriculteurs, des cuisiniers, des exposants, des chefs, comme le chef Anto bien sĂ»r, mais aussi Alexandre Bella, Ola Christian, Rougui Dia, Fatema Hal, etc. Ce festival sera aussi l’occasion de rĂ©flĂ©chir aux problĂ©matiques liĂ©es Ă  la cuisine africaine. Nous aurons aussi des ateliers pour enfants car c’est Ă  cet Ăąge-lĂ  que nous pouvons mieux transmettre le goĂ»t de la cuisine aux enfants, et bien d’autres surprises. Le mot de la fin ? Croyez et investissez en vous. Croyez en vos rĂȘves mĂȘme s’ils semblent fous. Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais. Related TopicsafriqueafrocaraĂŻbeafrocookingcookcookercookingcuisinecuisine afroeatentreprendreentrepreneurentrepriseĂ©vĂšnementfestivalinterviewKossi ModestemangermissparispartagerepasTogovoyageWe Eat Africa Avis des lecteurs Questionnaire Votre avis sur la qualitĂ©s des ouvrages publiĂ© par nos soins a de l'importance pour nous ! Nous serons donc tres reconnaissants Ă  elles et ceux qui prendront la peine de remplir le questionnaire ci-aprĂšs Si vous constatez un dĂ©faut de façonnage majeur sur un de nos produits, merci d'en informer immĂ©diatement le service clientĂ©le de la Maison de la Bible Produit CARTE POSTALE "RIEN N'EST IMPOSSIBLE À CELUI QUI CROIT" Vous habitez ... Si vous souhaitez prĂ©ciser ou complĂ©ter votre analyse, vous pouvez le faire dans le cadre ci-aprĂšs. Si vous souhaitez poser une question Ă  notre dĂ©partement Ă©dition ou attendez une rĂ©ponse Ă  l'une de vos remarques, merci d'indiquer votre adresse email. Si vous souhaitez que d'autres lecteurs aient connaissance de votre apprĂ©ciation sur le contenu de l'ouvrage, n'hĂ©sitez pas Ă  ajouter un commentaire Message complĂ©mentaire Votre email Montrer que vous ĂȘtre un humain neuf plus un Donnez la rĂ©ponse en chiffre

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